Ô douleur ! (poème dédié à quelques uns et quelques unes)

Publié le 24 Janvier 2012

 

Douleur s’immisce

Son et silence

Pensées du passé.

 

Douleur s’inscrit

Rides et larmes

Corps épuisé.

 

Douleur s’installe

Instant, éternité

Solitude est née.

 

Ô douleur !

A quand la douce heure ?

 

Suzâme

(22-23/01/12)

Rédigé par Suzâme

Publié dans #poèmes

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L
<br /> Un tres beau poème Suzâme. Bises à toi. cOSIMA<br />
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S
<br /> <br /> La douleur d'autrui me fait parfois si mal... A bientôt. Suzâme<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> Excuse Suzâme, j'étais relié au blog voyage Monique & Alain, qui n'a rien à voir avec la littérature.<br /> <br /> <br /> bisous et amitié<br /> <br /> <br /> Le Noctamplume<br />
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M
<br /> Cela commence par des douleurs morales, on a perdu un être cher, on manque d'amitié, on n'est  pas bien entouré, on ne se sent pas compris et pourtant on essais toujours de comprendre les<br /> autres, alors tout doucement mais pernicieusement, la douleur physique s'installe et devient de plus en plus insuportable.<br /> <br /> <br /> J'aime ta tendre façon d'évoquer le mal d'autrui et le soutient partageur que tu lui apporte.<br /> <br /> <br /> Bisous et bonne fin de journée<br /> <br /> <br /> Le Noctamplume<br />
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S
<br /> <br /> J'écoute toutes les solitudes au quotidien, à commencer par mon entourage. Des êtres ont mal mais ne l'expriment pas toujours. Merci d'avoir été cherché ce poème né d'une réaction des plus vives<br /> en pensant à des personnes très proches "tombées" en dépression ou pire. J'écris mais je suis bien impuissante... A bientôt. Suzâme<br /> <br /> <br /> <br />
E
<br /> je crois que le manque de quelqu'un, d'un complice de tendresse peut finir par tant nous manquer que l'on peut en effet rentrer dans une spirale de douleur et l'on devient incapable d'agir pour<br /> que ce rêve arrive car on se referme sur soi. Briser cette spirale peut être difficile. Merci pour ces mots<br /> <br /> <br /> Esclarmonde<br />
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S
<br /> <br /> Bonjour Eclarmonde,<br /> <br /> <br /> C'est parce que je suis à l'écoute que cette solitude proche de la douleur m'inquiète. Elle s'étend chaque jour. Je la perçois. Merci pour ton passage. Suzâme<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Nous l'espérons tous aussi, un sourire sur notre route...<br />
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S
<br /> <br /> Le calme, la douceur... même sans la volupté. Pourquoi pas? Les solitaires se multiplient. L'amour? De nombreux êtres cherchent ses empreintes sur le sable à marée basse, d'autres explorent<br /> l'espace et quelques uns plus effacés, n'attendent plus. Blues affectif, blessures silencieuses. A bientôt. Suzâme<br /> <br /> <br /> <br />