25 ème salon d'écriture du Partage des mots: le paradoxe
Publié le 24 Mars 2011
Poésie, danse immobile
Cet infernal paradis
Griffe ma douceur
Greffe ma liberté
A la feuille attachée
Aux cris du vent.
Oh que bruissent mes silences
Sur votre peau de soleil glacé
Et que grandissent mes lueurs
Aux confins de vos yeux !
Nul ne volera mon âme
Et ses faux envols
Pourtant je livrerai l’intime
Comme voile transparent.
Mes trésors sont poussières
Que votre regard illumine.
Pourtant je retiendrai l’infini
Comme vie à mourir.
Suzâme
(23/03/11)